Podcast : Les Ynsolents épisodes 11 à 20
Episode 20 : Emilie Yana, de danseuse chorégraphe à brasseuse de bière sans alcool

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Emilie Yana est une femme pleine d’énergie, de bonne humeur et d’idées, et elle fait partie des personnes qui osent.
Avec son compagnon, elle a créé Edmond bières, une des premières bières artisanales sans alcool.
Alors qu’elle voulait devenir professeur de sport, elle a bifurqué pendant ses études sur la voie d’entraîneur de sportifs de haut niveau, puis vers la danse contemporaine, qu’elle a exercé à temps plein pendant plusieurs années avant de devenir également chorégraphe.
Elle exerce aussi en tant que professeur de Pilates, une discipline sur laquelle elle a écrit plusieurs livres.
Son choix d’arrêter de consommer de l’alcool l’a poussée à imaginer une bière de qualité sans alcool, un défi que son compagnon s’est empressé de relever. Ce qui n’était au départ qu’un produit pour sa consommation personnelle est devenu, grâce à sa qualité et à l’enthousiasme de leur entourage, une bière sans alcool commercialisée et reconnue, y compris dans le milieu des bièrologues.
Son prochain défi sera d’amorcer -ou non- un virage pour faire évoluer leur entreprise, avec pour conséquence de s’éloigner du monde de la danse.
On a parlé de Sofia de la Star Ac’, de la question de la consommation de l’alcool et sa dimension sociale, de vivre dans le présent, et de zythologue.
Alors sortez votre décapsuleur, et venez écouter Emilie !
Vous pouvez également suivre Edmond Bière sur Instagram et sur Facebook !
Episode 19 : Aurélie Santarelli, de chef d'entreprise BTP à un outil d'organisation pour mamans

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Aurélie Santarelli est une jeune femme dynamique et résiliente.
Elle a créé « La décharge mentale », un outil d’organisation pour aider les mamans qui travaillent à mieux gérer leur quotidien.
Elle qui rêvait d’être décoratrice d’intérieur s’est finalement retrouvée dans le BTP, après un BTS commercial qui lui a permis de repousser l’échéance de son orientation professionnelle.
Elle a travaillé plusieurs années dans l’entreprise familiale de placo, où elle a occupé divers postes jusqu’à en assurer la direction après le décès de son papa.
Après plusieurs années difficiles, elle a choisi de prendre un nouveau départ en se concentrant sur ce qui la passionne désormais : les systèmes d’organisation.
Très présente sur Instagram et sur Tik Tok sous le pseudo « What The Mum », elle y divertit son public grâce à son humour à la Inès Reg, tout en faisant passer des messages plus profonds au femmes au bord de la crise de nerf.
On a parlé de liquidation judiciaire, de la charge mentale, des difficiles choix qu’elle a dû faire et du n° du prof de tennis.
Alors ouvrez vos applis, et venez écouter Aurélie !
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Et si vous souhaitez suivre Aurélie, vous la trouverez sur Instagram, Tik Tok ou sur son site internet.
Episode 18 : Carline, de chercheuse en électrotechnique à assistante maternelle

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Carline est une personne pleine de douceur, qui aime prendre soin des autres.
Elle démarre aujourd’hui le métier d’assistante maternelle après une carrière variée.
Elle n’avait pas de véritable projet professionnel, si ce n’est celui de s’émanciper, et c’est un peu par hasard qu’elle s’est retrouvée à faire de brillantes études en physique appliquée, puis à devenir chercheur en électrotechnique au CEA de Grenoble.
Mais sa soif de liberté et de voyages combinée à un projet familial l’ont emmenée au Canada puis en Allemagne, où elle a pu enfin nourrir son besoin de prendre soin en devenant infirmière en unité psychiatrique pour adolescents.
Elle est désormais de retour à Grenoble, et après deux années passées à travailler en crèche, elle a souhaité pouvoir prendre plus le temps avec les enfants qu’elle garde, en devenant assistante maternelle à son domicile.
On a parlé de son besoin de travailler en lien avec une équipe, du développement de l’enfant, de l’importance de continuer à changer tout au long de la vie et de l’addiction aux jeux vidéos.
Alors installez-vous confortablement, et venez écouter Carline !
Episode 17 : Nicolas Rogès, du marketing à écrivain

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Nicolas Rogès est un jeune homme enthousiaste qui a trois passions dans la vie : l’écriture, le basket, et la musique afro-américaine.
Il a déjà publié deux livres, un sur la musique soul et un sur le rappeur Kendrick Lamar, et son premier roman va sortir en 2022. Il se définit lui-même comme auteur, journaliste culturel, et conférencier.
Bien qu’il écrive depuis qu’il est en âge de tenir un stylo, il rêvait enfant de devenir basketteur professionnel ou dessinateur de mangas. Il a toutefois préféré s’assurer des revenus en s’orientant dans le marketing et la communication, qu’il a pratiqués pendant quelques années dans des grands groupes comme Roche, Photoweb ou Air Liquide.
Peu épanoui dans son travail, l’écriture a été sa bouée de sauvetage, jusqu’à-ce qu’il soit finalement publié, qu’il déménage au Canada, et qu’il s’autorise enfin à arrêter son métier pour devenir auteur à temps plein.
On a parlé de In da Club de 50 Cent, de la nécessité de changer les choses qui ne nous plaisent pas, des difficultés à vivre du métier d’écrivain, et des restaus avec sa copine.
Alors mettez votre casque, tournez le son à fond, et venez écouter Nicolas Rogès !
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Episode 16 : Elodie Duchêne, de chercheuse en géographie à professeur des écoles

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Quelle petite fille n’a jamais rêvé de devenir maîtresse ?
Elodie Duchêne n’a pas dérogé à la règle, mais c’est vers le monde universitaire et la recherche en géographie qu’elle s’est tournée dans un premier temps, avant de partir travailler dans les transports publics pendant quelques années.
Après être devenue manager, elle s’est remise en question et décidé de faire un bilan de compétences, au cours duquel son rêve d’enfance est ressorti.
Elle s’est alors lancée dans la préparation au concours de professeur des écoles, qu’elle a obtenu il y a trois ans, et elle s’épanouit désormais auprès des petits comme des plus grands.
Celle qui dit être toujours en train de découvrir son métier s’imagine déjà repasser un concours d’ici quelques années, pour se diriger vers l’enseignement plus spécialisé.
On a parlé de son besoin de se sentir utile, du choc de la réalité, des fameux points, et du droit au changement.
Alors prenez votre cartable, et venez écouter Elodie Duchêne !
Episode 15 : Clément Huber, de ingénieur en algorithmes à candidat astronaute

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Quel petit garçon n’a jamais voulu devenir astronaute ?
Clément Huber rêve du ciel depuis son enfance et a commencé à piloter des avions alors qu’il n’était qu’un adolescent.
Il a pourtant fait le choix de laisser cette voie de côté pour devenir ingénieur dans les algorithmes pour les véhicules autonomes, chez Navya.
Mais après quelques années de vie parisienne, alors qu’il avait tout ce dont un jeune diplômé peut rêver, il s’est senti pris au piège et a souhaité reprendre sa carrière en mains.
Après un passage au sein de l’armée de terre, il a souhaité concilier son esprit scientifique et sa soif d’aventure, en préparant désormais activement la sélection de l’agence spatiale européenne pour devenir astronaute.
Déterminé mais lucide, il a décidé de gérer cette sélection comme un projet, de façon très structurée et en faisant tout ce qui dépend de lui pour atteindre son objectif.
On a parlé de son besoin de relever des défis, de la possibilité de se reconvertir lorsqu’on a un diplôme d’ingénieur, de Tanguy, et on a même cité Mère Thérésa !
Alors préparez-vous au décollage, et venez écouter Clément Huber !
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Et si vous voulez en savoir plus sur lui, vous pouvez le suivre ici :
https://www.linkedin.com/in/huberclement
Episode 14 : Caroline Laubertie, de chef de projet à fondatrice de Dabba consigne

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Caroline Laubertie est une jeune femme débordante d’énergie et préoccupée par l’avenir de son prochain. Elle a cofondé en 2020 l’entreprise Dabba consigne, qui vise à remplacer les contenants jetables de la restauration à emporter par des boîtes lavables réutilisables.
Admirative de Muhammad Yunus, l’inventeur du micro-crédit, elle se destine depuis toujours à travailler en direction RSE en entreprise, mais la conjoncture économique la contraint à commencer sa carrière en tant que chef de projet dans un grand groupe industriel.
Un jour, elle a le déclic après une livraison de sushis et décide de s’associer avec Marion, qu’elle rencontre sur le site Make Sens pour créer Dabba consigne.
Ensemble, elles ont pu bénéficier du soutien de nombreuses structures comme La Metro, Pôle Emploi, IncubaGEM ou encore Ronalpia, et elles ont construit leur offre main dans la main avec des restaurateurs grenoblois comme O Bo Bun.
Elle est parvenue à valoriser son parcours en école de commerce non pas au bénéfice du CAC40 mais d’un projet qui a du sens pour elle. Sa première vie professionnelle lui a permis de structurer son projet avant de se lancer, pour construire des bases solides avec son associée.
On a parlé de business à l’ancienne, de décoreuse, de sa quête de sens et d’apocalypse dans la cuisine !
Alors attachez votre serviette et venez écouter l’histoire de Caroline !
Episode 13 : Pascale Yvetot, de la publicité au café des enfants La Soupape

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Si vous prenez de l’art, des enfants et du café (enfin, plutôt de la grenadine) et que vous mélangez tout ça, vous obtiendrez le fameux Café des Enfants La Soupape, un lieu créé par Pascale Yvetot que nous rencontrons aujourd’hui avec Les Ynsolents.
Dans le quartier des Eaux Claires, elle accueille avec son équipe petits et grands en leur proposant des ateliers artistiques, un café et de la restauration.
Passionnée par l’art et les belles choses depuis toute petite, Pascale a pourtant fait un BTS publicité, un domaine dans lequel elle a travaillé pendant de nombreuses années.
Mais un jour, elle décide de laisser germer la graine semée par la professeur de dessins de son enfance, et créé le Café des Enfants en 2008.
Après 13 ans d’activité et 60 heures de travail hebdomadaire, Pascale s’imagine bien passer le flambeau d’ici quelques années pour partir faire le tour du monde avec son sac à dos.
On a parlé des ateliers de Violaine, de son besoin d’être entourée de belles choses, des sourires des enfants et
Alors taillez vos crayons et venez écouter l’histoire de Pascale ! Pour écouter l’épisode, cliquez ici.
Episode 12 : Franck Litzler, de professeur des écoles à musicien professionnel

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Aujourd’hui, Les Ynsolents vous font découvrir le parcours de Franck Litzler, qui joue dans le groupe SZ avec son frère.
Si vous avez des enfants, vous avez peut-être déjà assisté à un de leurs ciné-concerts comme Le petit monde de Leo Lionni, Le voyage du lion Boniface ou plus récemment, Komaneko.
Ils réussissent la prouesse de faire apprécier du post-rock électro à des enfants de 2 ans.
Nourri depuis son plus jeune âge par la musique, celui qui aurait aimé devenir architecte s’est finalement dirigé vers le métier de professeur des écoles qu’il a exercé pendant de nombreuses années avant d’être rattrapé par le succès de son groupe. Il a alors fait le choix de quitter l’enseignement pour se consacrer à la musique, dont il vit depuis presque 10 ans.
Au fil des ans, ce travailleur insatiable a su allier ses deux passions, la création artistique et la transmission, en proposant désormais des ciné-concerts pour le grand public et des ateliers ciné-concerts au sein des écoles.
On a parlé de sa boulimie de sons et de bricolage sonore, de son besoin de retour à la matière, de Elise qui a changé sa vie et des policiers à moto.
Alors branchez vos écouteurs et venez vous laisser embarquer par Franck ! Pour écouter l’épisode, cliquez ici.
Episode 11 : Gil Petrizzelli, de barman à agent de sportifs et d'artistes

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Si je vous dis : Une dose d’impertinence, quelques tatouages, des meubles vintage et une grande gentillesse, vous voyez de qui je parle ? Si vous êtes Grenoblois et que vous aimez sortir, vous avez forcément déjà croisé Gil Petrizzelli derrière son comptoir du café Zimmerman, ou il y a plus longtemps au bar de la Bobine.
Il vient tout juste de revendre le bar qui a fait son succès, pour créer SAT Agency, une agence qui accompagne les sportifs et les artistes.
Ce self-made man comme on dit, qui a commencé à travailler très jeune, semble fonctionner par cycles de 5 ans. Travailleur et ambitieux, il sait aussi renoncer quand il sent qu’il est allé au bout du potentiel d’un projet. Il a alors une façon assez radicale de tourner la page.
Après avoir servi des verres toute sa vie, il se met désormais au service des potentiels sportifs et artistiques, en espérant apporter une dose d’intégrité dans ce milieu particulier.
On a parlé de son besoin de se mettre régulièrement en danger (un indice : tous les 5 ans), de sa passion pour Le Bon Coin, de son ami Félix et du sucre complet non raffiné.
Alors asseyez-vous bien confortablement, et laissez-vous embarquer dans l’histoire de Gil ! Pour écouter l’épisode, cliquez ici.